FAQ sur le GSAD
Actuellement, le GSAD n’est accessible qu’aux chercheurs du secteur public. Cependant, certains centres de données associés au GSAD peuvent répondre à des demandes du secteur privé à l’extérieur du réseau du GSAD. Pour toute question concernant la recherche privée, écrivez à dash@hdrn.ca. Le GSAD peut vous fournir une liste de personnes-ressources au sein d’organismes membres du RRDS Canada potentiellement ouverts à travailler avec le secteur privé.
Consultez notre inventaire de banques de données pour connaître les banques de données des organismes membres du RRDS Canada. Vous pouvez accéder à ces données en remplissant le formulaire de demande.
Veuillez consulter la page Fonctionnement du GSAD pour savoir comment soumettre une demande de données.
Il est possible de consulter les données multirégionales qui figurent dans les banques de données pancanadiennes administrées par l’Institut canadien d’information sur la santé et Statistique Canada à un même endroit, par l’intermédiaire de ces deux organismes. L’accès aux données régionales à partir du GSAD est assujetti aux politiques et procédures des organismes membres du RRDS Canada en matière d’analyses réparties de données.
La présentation d’une demande de données au GSAD est gratuite. Cependant, des frais seront facturés par les organismes membres du RRDS Canada selon leurs propres processus de recouvrement des coûts. Pour en savoir plus, consultez la page Coûts des services liés aux données.
La divulgation de renseignements personnels sur la santé et de données dépersonnalisées est soumise à des lois et exigences particulières dans chaque province ou territoire. En effet, dans bon nombre de régions du Canada, il existe des lois ou des politiques qui limitent la divulgation de données au niveau des patients et le transfert ou le partage de données entre les provinces et les territoires à des fins de recherche. Comme ces exigences sont énoncées dans les ententes conclues avec les organismes membres du RRDS Canada, le GSAD peut aider les chercheurs à surmonter les difficultés et à trouver des solutions potentielles dès les premières étapes de conception de leur projet. Le GSAD peut aussi fournir une rétroaction sur les ententes de partage des données ou d’accès aux données à mesure qu’elles sont rédigées.
Le RRDS Canada et le GSAD peuvent appuyer les propositions de financement de la recherche en fournissant une lettre de soutien général du RRDS Canada démontrant que le projet de recherche proposé est en phase avec les objectifs du RRDS. Ils peuvent aussi évaluer la faisabilité des projets qui nécessitent les services d’accès aux données du GSAD et fournir une estimation des coûts afférents. Dans les deux cas, les chercheurs doivent créer un compte GSAD et soumettre un formulaire de demande. Le formulaire recueille les renseignements requis pour que le GSAD évalue la demande et formule ses conseils sur les prochaines étapes. REMARQUE : Veuillez noter que le processus peut exiger un délai de deux à quatre semaines.
Le GSAD offre un soutien coordonné aux chercheurs ainsi que des conseils tout au long du processus de demande d’accès aux données. Pour obtenir de la formation, des instructions ou du soutien sur l’utilisation des données, veuillez communiquer avec votre centre de données local afin de connaître les ressources disponibles.
Les données sont conservées, traitées et administrées par les organismes membres du RRDS Canada, qui comprennent des centres de données répartis aux quatre coins du Canada. Le GSAD centralise les demandes de données. Il coordonne également le soutien et le traitement des demandes. Les données ne sont jamais vendues, échangées, transférées ou communiquées de quelque façon que ce soit au GSAD. Ce dernier n’a jamais accès aux données. Il ne possède pas de centre de données ni de banque de données.
Le GSAD appuie et respecte les principes de PCAPMD (propriété, contrôle, accès et possession) élaborés par le Centre de gouvernance de l’information des Premières Nations lorsque la demande, l’accès et l’utilisation visent des données sur les Premières Nations.
La divulgation des renseignements personnels sur la santé ou des données dépersonnalisées hors du Canada est interdite dans de nombreuses régions du pays. Le GSAD peut reconnaître ce genre d’obstacles dès les premières étapes de la conception de l’étude.